Insects that grow in water that is in house vessels, pits, and caves, that don't have fountain in them, are permitted, even though they don't have fins and scales. Therefore, one can lean over and drink from them, and not to be concerned with them, if they happened to come into his mouth. But it is forbidden to draw [water] in a vessel and drink from them (Ashiri and the Arukh Klal 41 and the Kol Bo) And if they left their place where they grew, like outside pit or on side of vessel, even though they came back, they are forbidden. And presumably, there is no place of concern that they left. But if they did not leave but are on side of vessel, on inside, they are permitted.
Those that grow in water that is in furrows or ditches, (explanation: slits, long and short ditches, wide like made for fish inclosures, Rashi), they are withdrawn and not flowing, there are those who forbid and there are those who permit.
The one who filters water, or the rest of liquids, if it had worms or gnats or mosquitoes in it, even though they returned inside, it is prohibited, because they had already left. Therefore a drink that worms normally grow in them, and similar situations, one does not filter it with wood slivers and straw, at night, lest they will return or fall inside the vessel, and one comes to drink them. Gloss: But it is permitted to filter through a garment or sieve, for behold they are not able to fall through there into the drink, also it is permitted to pour a liquid from one vessel to another vessel, since they always are with a liquid, this is sanitary treatment (Beit Yosef).
Worms that grow in fruit, in picked [fruit], they are permitted. The Torah only forbade crawling things that crawl on land. To what are we referring, when they did not leave the fruit. But if they left the fruit, even if it did not reach the land rather it dead in the air before it reached the ground, even if it did not entirely leave the fruit, only a little, or it only left onto the fruit, or on the seed that is inside, or if it left from fruit to fruit, it is forbidden. And there are those who say even if it died within the fruit and left afterwards. Any time that it is found within the fruit, even a hole bored to the outside, we are not concerned lest it left and returned. There are those who forbid if the hole bored to the outside (Moredechai PA''T and Sh''D in the name of RAB''N and Rabbi ABI''H in the name of Rabbi Yoel Huvah BT''H Siman 171) and this is how we are accustomed (Terumat HaDeshen ibid. and Hagahot SH''D.
Les vers trouvés dans la farine, ou les denrées semblables, sont défendus, de crainte qu’ils n'aient quitté la farine, touché la terre et retourné ensuite à leur place.
GLOSE: Il en est de même du sel et de toute autre denrée solide. Il est défendu de vendre de telles denrées à un païen, de crainte que celui-ci ne les revende à un Israélite.
All types of fruit where it is their norm to be wormy while they are attached, he may not eat until he checks the fruit from the inside. Maybe there is a worm in it. And if the fruit waited after it was picked, for 12 months, he may eat without an inspection, because any creature that has no bone in it does not survive for 12 months. Nevertheless, he needs to check them to throw away the worms that are found between them on the outside, or on top of the fruit. And even after he throws away those that were found on the outside, there is concern that maybe when he puts them in water in the pot, they will exit and crawl in the water or in the walls of the pot or on the fruit. Therefore, one who comes to cook after 12 months, wormy fruits, he should put them in cold water. The wormy and pierced ones will rise to the top. And afterward he should put them in boiling water, so that if a worm remains it will die immediately. And it does not help with them if he checked the majority. Rather he must check all of them, because it is a prominent minority.
A fruit that became infested - but we do not know if it became infested while attached to detached - is assur.
On ne doit manger, sans examen préalable, aucun des fruits sujets à être vermoulus pendant qu'ils sont encore attachés à l’arbre. Mais on peut manger ces mêmes fruits, même sans examen préalable, si douze mois se sont déjà écoulés depuis qu’on les à cueillis, attendu que nul animal invertébré ne peut pas vivre douze mois. Il faut pourtant examiner les fruits, même en pareil cas, et jeter les vers qu'on trouve à l'extérieur du fruit. Et même quand on jette les vers trouvés à l’extérieur du fruit, il y a encore lieu de craindre qu’en mettant les fruits dans l’eau de la marmite, les vers ne les quittent et ne rampent ensuite dans l’eau, sur les parois de la marmite ou sur le fruit même; c’est pourquoi celui qui veut cuire des fruits piqués des vers et cueillis depuis douze mois, doit les mettre d’abord dans de l’eau froide, afin que les fruits vermoulus remontent à la surface, et les jeter ensuite dans de l'eau bouillante, de sorte que les vers vivants, s'il y en reste, périssent immédiatement.
GLOSE: En l'occurrence, il ne suffit pas d'examiner la plupart des fruits, mais il faut les examiner tous; attendu que les fruits vermoulus, bien que ne formant qu'une minorité, se rencontrent très souvent.
If one violated and cooked within 12 months without checking, if he is able to check, he checks. And if not, it is permitted. And if a bit were found in the pot, he throws them away and eats the rest, because there is no fruit that does not contain 60 against the taste of the worm that is inside it. And there is an opinion that says that these words are only if only one or two were found. But if three or four were found, everything is forbidden. Haga”h: And only a food that it is impossible to filter it and to remove the worms from them. And since it is assumed to have worms it is all forbidden. But if it is possible to filter it, he removes the worms that are found there, and the rest is permitted. And see later end of chapter 100.
Lorsqu'on trouve des vers dans un mets de légumes, on peut en manger la partie liquide après le filtrage. Mais on ne doit pas manger la partie solide si on y a trouvé trois vers, de crainte qu'il n’y en ait encore d'autres qu'on n'aperçoit pas.
Lorsqu'on trouve des animaux dans des denrées qui ont été examinées précédemment par une femme, on ne doit plus se rapporter à l'examen de cette femme, si l’animal trouvé dans les denrées est assez grand pour qu’on le découvre tout de suite, par exemple, un lézard; mais s’il ne s'agit que des vers qui, cachés dans les feuilles des fruits, échappent parfois à l’œil et ne deviennent visibles qu’après la cuisson, on peut encore se rapporter à l'examen de cette femme.
Il est douteux si l’on doit manger des confitures dans lesquelles sont tombées des mites à une époque reculée de douze mois; car, bien que les invertébrés ne vivent point douze mois, il est pourtant connu que le miel conserve les animaux plus longtemps.
Lorsque des mites tombent dans le miel, on chauffe celui-ci pour le rendre liquide, et on le filtre ensuite.
Il est permis de moudre du froment piqué de vers; mais il faut tamiser la farine à la lumière du jour.
GLOSE: On jette tous les vers qu’on y trouve, et la farine est permise.
Les espèces de volailles qui croissent sur des arbres, auxquels elles sont attachées par le bec, sont défendues, parce qu'on les considère comme des animaux rampants par terre.
Tous les vers qui habitent le corps d’un animal, soit qu'ils habitent entre la peau et la chair, soit dans l'intestin, sont défendus. Quant aux vers qui habitent le corps des poissons, seuls les vers qu'on trouve dans l'intestin sont défendus; mais ceux qu’on trouve entre la peau et la chair sont permis.
GLOSE: Alors même qu'ils ont déjà un peu rampé, en quittant leur place et en y retournant, car tel est leur état normal de ramper un peu. Pourtant on ne déclare ces vers défendus qu'autant qu'ils habitent la chair des animaux vivants; mais ceux qui habitent la chair des animaux morts, soit animaux terrestres ou aquatiques, ou le fromage, sont permis aussi longtemps qu'ils ne rampent pas. Aussi, d’après l'avis de ces auteurs, les vers provenant de la chair et trouvés dans l’assiette sont-ils permis; mais à condition toutefois que les vers soient morts; et on n’appréhende pas que les vers se soient détachés de la chair, quand ils étaient encore vivants; car il est fort probable que les vivants ont déjà été éliminés, lorsqu'on a lavé la viande avant la cuisson. Un certain auteur défend également les vers qui habitent la chair des animaux morts, chez toutes les espèces d'animaux qui ont besoin d’être saignés selon le rite.
GLOSE: L'usage est de se montrer modéré, conformément à la première opinion. Il est, en outre, d'usage de manger les vers qui habitent le fromage, alors même qu'ils rampent sur le fromage; mais ils sont défendus, s'ils sont séparés du fromage. Cependant, s'ils sont tombés dans un aliment dont on ne peut plus les éliminer, l'aliment n'est pas défendu, attendu que certains auteurs permettent les vers, même en pareil cas. Il convient de se montrer sévère s’il ne s’agit pas d'une grande perte.
Quand il s'agit d’un remède, il est permis de manger un animal rampant carbonisé, attendu que dans ce cas on ne mange que de la cendre.